Lors de la période des pluies, l'hivernage, le paysage totalement aride de la plaine de Boni se transforme en quelques jours en une vaste prairie verdoyante.
Vue de Boni depuis l'ascension de la falaise de Koyo. On reconnaît l'agencement urbain traditionnel : une maison de briques de terre (banco) ceinte d'un muret pour la cour, l'ensemble formant la « concession ».
Le marché aux bêtes de Boni, réputé dans la région et même au-delà puisqu'on y vient du Burkina et de Mauritanie, est une occasion unique pour côtoyer de nombreux marchands Touareg et les autres ethnies de la vallée (Peul, Dogon, Rimaïbé, Songhaï, Bella).
Le tailleur de Boni. Il sait tout faire.
Le jeudi, jour de marché, toutes les rues de Boni sont encombrées de petites échoppes ou marchands ambulants.
Le marché à Boni.
Les jours de marché à Boni, les Dogon de Koyo descendent de leur falaise pour vendre leur maigre récolte de fruits ou légumes préférant garder le mil comme nourriture principale.
Ne pas oublier le préfixe pour commander par téléphone.
Le marché de Boni.
Le marché de Boni.
Superbe travail au henné sur les mains d'une jeune fille Touareg.

Yacouba Tamboura tisserand du village rimaïbé de Nissanata près de Boni dans la vallée.
Un voyageur Dogon de passage au dispensaire de Boni.
En attendant les pluies, un agriculteur prépare son champs pour y planter du mil, céréale qui requiert peu d'eau et base de l'alimentation.
Jeune fille Tamashek (Touareg) de Boni.
Jeune fille Tamashek de Boni.
Cette jeune fille, d'ethnie Bella ... est au service d'une famille Tamashek à Boni.
Marchand de chameaux Tamashek de Boni.
Les nombreuses ethnies qui circulent dans la vallée offrent des visages bien différents.
Voyageur Peul.